Quand le funéraire perd sa noblesse
au profit du business
Nous serons tous, un jour, confrontés au deuil.
Le funéraire n’est pas un secteur lointain : c’est une certitude de vie. Pourtant, il demeure l’un des univers les plus opaques, où la douleur devient une marchandise et le deuil, un business.
Une voix refuse de se taire. Elle dénonce sans détour ce que beaucoup préfèrent ignorer et rappelle que la mort n’est pas une opportunité commerciale, mais un passage universel qui mérite dignité, respect et vérité.
L’auteur de ce livre a choisi ce métier par conviction, non par héritage ni par intérêt. Il ou elle a découvert la noblesse d’une vocation, mais aussi les pratiques douteuses, la pression financière et la loi du profit qui gangrènent le domaine.
Du contrat obsèques aux devis prétendument avantageux, jusqu’aux pièges qui se referment sur les familles, l’auteur dit tout.
Quand la douleur devient un marché !
Un univers où certains voient dans la douleur des familles un marché juteux…
On est loin d’imaginer ce qui nous attend lorsque l’on franchit le seuil de ce milieu.
Un livre qui révèle l’envers du décor du funéraire.
C’est l’histoire d’un métier magnifique, abîmé par les habitudes et l’argent.
Et si ce n’était pas seulement un métier de recueillement ?
Le funéraire, on croit le connaître.
En réalité, on n’en voit qu’une vitrine figée.
Derrière les portes closes, se cachent des secrets bien gardés : jeux d’influence, réseaux
verrouillés, pratiques douteuses, contrats obsèques transformés en business…
Dans ce livre sans concession, un(e) opérateur/trice funéraire raconte son parcours à
contre-courant : l’ouverture d’une agence indépendante.
À travers des récits intimes et des révélations choc, l’auteur nous plonge sans filtre
dans les coulisses de l’univers funéraire.
Un témoignage rare et bouleversant, écrit à cœur ouvert, qui brise le silence pour
redonner au funéraire
son vrai sens :
l’accompagnement des familles,
dans la dignité et la vérité.
Aux familles, qui sont le cœur et la raison d’être de ce métier, et qui se retrouveront
peut-être dans certaines pages.
À celles et ceux qui rêvent de se lancer dans le funéraire.
Frères et sœurs de route, qui vous reconnaîtrez dans ces chapitres, en partageant
sûrement la même expérience du métier.
Et en hommage aux petites mains de l’ombre : fleuristes, agents de l’état civil,
thanatopracteurs, agents de chambre funéraire, porteurs, agents de crématorium
et tant d’autres… sans qui rien ne serait possible.
Écrit par Un auteur anonyme, un opérateur ou une opératrice funéraire, ce livre explore les résistances du secteur, les enjeux financiers, certaines pratiques douteuses, mais aussi la beauté du métier et la relation humaine avec les familles.
On pense parfois qu’il suffit d’avoir du courage, un peu d’argent et une idée claire pour se lancer dans l’entrepreneuriat. C’est vrai dans bien des secteurs. Mais pas dans le funéraire.
Dans ce métier-là, il ne suffit pas d’être compétent ou motivé. Il faut aussi franchir des murs invisibles, faits de traditions, d’accords tacites et de territoires jalousement protégés.
Le premier choc, c’est ce climat de silence. Tu cherches des infos ? On te dit que « ce n’est pas comme ça que ça fonctionne ici ». Tu demandes conseil ? On détourne le regard. Tu poses des questions ? On te fait sentir que tu es de trop.
Pas de forum ouvert, pas de vraie entraide, pas de structure de soutien. Tu veux monter ton agence ? Débrouille-toi.
Et tu comprends vite pourquoi : le gâteau est déjà partagé, et il ne reste plus de place à table. Certaines agences installées voient ton arrivée comme une menace. Tu n’es pas un confrère, même si tu es installé dans un autre secteur. Tu es un concurrent. Un intrus.
Tu fais ce métier sans attendre forcément de reconnaissance ni de retour. Pourtant, à chaque famille accompagnée, au détour d’un regard, d’un mot discret, d’une poignée de main… tu entends un merci qui te transperce. Et là, tout s’arrête. Pas un « merci » poli. Pas un « merci » administratif. Un vrai MERCI. Un merci d’âme à âme.
🙏 Un merci qui vaut plus que n’importe quel contrat Ce « merci-là », il ne s’achète pas. Il ne se provoque pas. Il se mérite, aux pulsations de ton cœur, dans le silence, dans l’écoute, dans les gestes simples. Tu n’as peut-être rien dit d’extraordinaire. Tu as simplement été là. Présent, authentique, juste. Et ce que la famille a ressenti, elle ne l’oubliera jamais.
💎 Le plus beau retour, c’est la confiance Il se matérialise quand la famille te rappelle pour une autre proche. Quand elle te dit : « C’est vous que nous voulons pour nous accompagner. Parce qu’on vous fait confiance. » À cet instant tu comprends que tu n’as pas seulement géré des obsèques : tu as marqué une histoire familiale. Tu es devenu un repère dans l’épreuve.
Vous le savez autant que moi : Le métier est en train de se vider de son sens. Certains ont transformé l’accompagnement en tableau Excel. D’autres ont oublié que derrière chaque dossier, il y a une histoire, une famille, une douleur. Et ce n’est pas parce que c’est « comme ça depuis toujours » que c’est bien. Ce n’est pas parce que vous avez toujours fait « comme ça » que c’est juste. Si on ne bouge pas, le funéraire finira froid, cynique, désincarné. Et ce sera votre héritage. 🧱 Vous défendez votre territoire, pas votre mission Soyons clairs : certains d’entre vous ne me rejettent pas parce que je fais mal mon métier. Vous me rejetez parce qu’un nouveau prend une part du marché local. Mais ce n’est pas votre gâteau. Ce sont les familles qui choisissent à qui elles font confiance. Ce sont elles qui décident, pas vous, pas vos réseaux, pas vos ententes locales. Je ne vous « vole » rien, car si les familles viennent dans mon agence, c’est peut-être parce qu’elles trouvent chez moi ce qu’elles ne trouvent plus chez vous.
Quand une famille franchit la porte d’une agence en quête d’informations, on lui remet souvent un devis « d’appel ». Sobre, allégé, présenté comme une base. Puis, une fois la famille assise chez le confrère, au moment décisif de signer, les options surgissent. Toujours “naturellement”, comme une évidence.
On explique que le devis initial correspondait à des obsèques simples, minimalistes, et qu’en réalité, il faudra ajouter ceci, puis cela… Parce que « ça se fait toujours », parce que « c’est indispensable ».
C’est du marketing déguisé, ni plus ni moins. Mais un marketing d’autant plus pernicieux qu’il se niche dans le deuil. Dans ce moment où les défenses sont abaissées, où la douleur occupe tout l’espace, il devient presque indécent d’opposer un refus.
Et c’est ainsi que des familles, persuadées d’avoir choisi une formule simple et maîtrisée, se retrouvent finalement avec une facture bien plus lourde qu’elles ne l’imaginaient.
Il existe même des enseignes qui pratiquent ce que j’appelle « Le bouton magique » : une case sur le devis informatisé qui permet, en un simple clic, de supprimer certaines prestations dites “non essentielles”.
En un instant, le devis semble allégé de plusieurs centaines d’euros. Le prix devient imbattable.
Je sais que c’est dur de penser à ça dans un moment aussi douloureux. Mais croyez-moi : beaucoup de familles découvrent après coup qu’elles ont payé trop cher, alors qu’avec une autre agence et avec le même service cela aurait coûté bien moins.
Ne vous laissez pas impressionner par le vocabulaire, ni par les grands discours. Ne vous laissez pas vous mettre la pression en vous disant qu’il faut agir urgemment.
Posez des questions. Faites jouer votre droit au libre choix. Et surtout : exigez la transparence.
Car accompagner dignement, ce n’est pas faire du chiffre. C’est faire confiance, dans les deux sens.
⚠ Méfiez-vous des assurances décès : Beaucoup de familles pensent qu’une assurance décès couvrira automatiquement les frais d’obsèques et mettra à l’abri ses proches. Ces contrats peuvent sembler rassurants, mais attention, il faut être très attentif : certaines assurances décès ne prennent en charge que les décès accidentels, et non les morts naturelles. Le piège des contrats obsèques Certaines enseignes ont un accès direct aux contrats obsèques que les familles ont souscrits : Si le contrat obsèques a été signé directement chez elles (contrat d’assurance ou de prévoyance rattaché à l’enseigne funéraire), elles connaissent naturellement le capital prévu, les prestations choisies et l’organisme payeur. Si le contrat a été souscrit par un partenaire (banque, assurance, mutuelle) ayant un accord commercial avec elles, l’enseigne funéraire peut avoir une délégation privilégiée : le capital est souvent versé directement à l’opérateur funéraire partenaire, qui sait donc combien il peut facturer. Cela pose plusieurs enjeux : La suite dans le livre
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